Bad Teacher cartonne!

Publié le par Yohan

Bad teacher entre directement n°2 du box office US avec un total de $31.000.000 de bénéfices! (pour un film qui en a couté trois fois moins). Il est devancé par Cars 2, qui fait $68.000.000 de recettes..

En Belgique, le box office n'est pas encore disponible, mais on sait que le film est le 3eme le plus projeté dans le royaume, après Kung Fu Panda 2 et Pirates des Caraibes 4. De quoi espérer une bonne place!

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Cinénews.be & Box office mojo

Publié dans Box office

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Sexe entre amis: Still

Publié le par Yohan

La page Facebook du film a postée (comme chaque semaine) une photo du film. En voici une extra!

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Bad Teacher: Critiques

Publié le par Yohan

Bad Teacher, ce film à un-je-ne-sais-quoi: Cyberpresse.ca

Cameron Diaz a affiché un talent certain dans Being John Malkovich, Vanilla Sky et autres Gangs of New York. Mais depuis, il y a eu The Holidays, The Box, The Green Hornet, My Sister’s Keeper, etc. Autant d’expériences non concluantes, dans le rire comme dans les larmes.

La savoir en tête de distribution de Bad Teacher, la nouvelle comédie crasse de Jake Kasdan (Walk Hard, Freaks and Greeks), a pu provoquer quelques doutes. La blonde longiligne est pourtant l’un des bons éléments de ce film qui n’atteint pas les sommets de dépravation de son cousin (en terme de titre) Bad Santa, mais qui donne quand même plusieurs coups de pied bien placés (comprendre: sous la ceinture) dans la rectitude politique.

Bref, c’est vulgaire, parfois grinçant, souvent hilarant sur le mode très bête. Dommage que cela manque de constance et, surtout, que la carte de la rédemption soit posée sur la table à la toute fin. Car même si les artisans du film s’en défendent, il y a une manière d’expiation au bout de ce drôle de chemin de croix. Ce n’était pas nécessaire.

Bad Teacher, donc, c’est l’histoire d’Elizabeth (Cameron Diaz, aussi à l’aise sur ses très hauts talons que dans la morgue, la grogne et la manipulation). Si on dit qu’enseigner est une vocation, elle ne l’a pas. Elle fume, boit, se drogue, jure, n’aime pas la compagnie des enfants, ment. Oh, et elle est professeur au primaire. En attendant de pouvoir faire mieux. C’est-à-dire épouser un homme riche. Ça tombe bien: son nouveau collègue, Scott (Justin Timberlake), fait partie d’une richissime famille. Le hic: il affiche un penchant pour les poitrines plantureuses. Elizabeth sait ce qu’il lui reste à faire: se payer une nouvelle paire de seins. Le hic-bis: elle n’a pas d’argent. Elle va en trouver, utilisant toutes les ressources de l’école (!) pour cela.

C’est ça. Juste ça. Et même si l’ensemble aurait mérité un fil conducteur plus solide, ça fonctionne grâce à quelques scènes désopilantes (le car-wash, le spectacle du groupe formé par les profs, une certaine partie de jambes en l’air) et une galerie de personnages d’un bizarre consommé portée par une distribution solide et bien dirigée: un prince charmant qui apparaît plus tordu à chaque scène (Justin Timberlake, très à l’aise en mode multifaces); une prof zélée qui s’avère vite totalement névrosée (Lucy Punch, délirante); une autre, maladivement timide (Phyllis Smith, hilarante). En fait, le seul qui semble avoir la tête sur les épaules est le prof d’éducation physique qui en pince pour Elizabeth, incarné par un Jason Segel excellent en straight man.

Au final, malgré sa morale plaquée en toute fin, ce film possède un indéniable je-ne-sais-quoi qui le rend fort sympa.

 


 

Carpe Diem mon cul! - Moustique (Bel)

Jake Kasdan prouve que la comédie décomplexée initiée par les frères Farrelly a encore de beaux jours devant elle. Et que les Etats-Unis sont une Terra Comica.

Qui a dit que le pays de l’oncle Obama était une terre défraîchie, coincée des fesses et horriblement propre sur elle? C’est que les clichés ont la peau dure. Dans notre époque, où la courbe de l’effet de serre est inversement proportionnelle à l’état de santé du panier de la ménagère, où la moitié du monde fait la gueule aux gens d’en face. Où le cinéma hexagonal se chatouille le nombril au lieu de faire rire les Français. Où la seule tentative d’échappatoire un tantinet souriante aux sarcasmes cyniques de Naulleau et Zemmour est le feuilleton télé quotidien de la libido exacerbée d’un ministre libidineux. À cette époque, je vous le dis, le rire cinématographique vient indéniablement d’outre-Atlantique.

Pour faire court: oui, les Américains ont trouvé le truc pour nous faire bidonner. Les nouveaux maîtres comiques ont pour noms Farrelly, Apatow, Duplass. Leur truc, faut pas chercher loin, c’est l’audace. Et ce sont les frères Farrelly, avec leur Mary à tout prix qui ont entamé la renaissance de la comédie américaine. Réalisant, en posant la loupe sur leurs étranges contemporains, des comédies vachardes à la vulgarité assumée, irrévérencieuses, régressives, mais drôles. Incroyablement drôles et décomplexées.

Bad Teacher s’inscrit dans la ligne - tordue - des comédies précitées. Elizabeth n’est pas franchement un exemple à suivre. Elle fume comme un pompier, fait des créneaux de fou avec son bolide, boit comme un trou sans fond, enfile ses jambes sans fin dans des jeans moulants et est gaulée comme Cameron Diaz. D’ailleurs, ça tombe bien, c’est elle! Détail qui tue: elle est prof. Mais pas pour les nobles raisons du formidable John Keating du Cercle des poètes disparus. Autant dire que l’élévation de l’âme, elle la voit surtout dans les volutes de fumée d’un bon joint. Et dans le fait de séduire au plus vite une poule aux œufs d’or.

Avec ses allures de Prête à tout de Gus Van Sant, cette comédie de Jake Kasdan, jouée par des comédiens qui n’ont pas peur d’écorner leur image, s’amuse à tordre le cou aux clichés éculés des teen movies en envoyant un bon coup de botte dans le séant du politically correct. Ode jouissive (et poil à gratter) à l’arrivisme crasse, au mensonge éhonté et à la beauté scandaleuse de Diaz, cette Bad Teacher nous ferait passer l’envie de faire l’école buissonnière! On a aimé. Et on n'a même pas honte!


Bad Teacher: Une sale prof vite oubliée - lebuzz.info (Can)

 

La comédie Bad Teacher, présentée au Québec sous le titre Sale prof, prend l’affiche aujourd’hui. Et, malheureusement, Cameron Diaz et Justin Timberlake y font pâle figure. Voici notre critique du long métrage réalisé par Jake Kasdan.

Il était une fois une croqueuse de diamants prénommée Elizabeth (Cameron Diaz). La pauvre avait réussi à mettre le grappin sur un héritier et s’apprêtait à quitter l’école où elle officiait à titre de professeure pour l’épouser et finir sa vie à acheter des vêtements et se vernir les ongles. Dommage pour elle, un jour, son beau rêve s’effondra, le fiancé en question ayant ouvert les yeux. Voilà pour la prémisse.

De retour entre les quatre murs de l’école secondaire dès la rentrée suivante, Elizabeth est de mauvaise humeur et se met dans la tête le raisonnement suivant: elle n’arrive pas à se dégoter un riche jobard tout simplement parce qu’elle a de petits seins. Il lui en faut donc des gros. Une visite chez le chirurgien lui apprendra le coût exorbitant de ces appendices pour une prof mal payée.

Elle emploie tous les moyens possibles pour arrondir ses fins de mois, ne mangeant plus que du junk, volant les parents d’élèves et se dévêtant plus que de raison pour s’approprier une partie de fonds récoltés lors de l’activité de lavage de voitures organisée par l’école. Bref, vous voyez le genre.

Parallèlement, cette prof mal embouchée, vulgaire, qui laisse sa classe regarder des films au lieu de leur faire cours, fait la connaissance de Scott Delacorte, suppléant qui lui plaît aussitôt puisqu’il est l’héritier d’une riche – très très – famille. Mais c’est un con alors que Russell Gettis (Jason Segel), le prof de gym qui lui fait de l’œil, est pauvre mais aussi cynique et désagréable qu’elle.

Inutile de vous expliquer la suite, ça ne rime à rien puisque vous avez deviné où la mini intrigue de ce Bad Teacher nous mènera. En prime, on a droit à une morale de fin lorsque notre écervelée renonce à ses faux seins.

C’est tout, il n’y a rien d’autre. Alors que le marketing des studios Sony laissait entrevoir «scandale», «rébellion» et «anticonformisme», on ne trouve dans ce Bad Teacher qu’une version aseptisée et dénuée de toute intelligence des bonnes vieilles comédies grinçantes européennes (citons, en vrac, Le père Noël est une ordure ou encore Shallow Grave dans un genre complètement différent).

Histoire d’appâter le client (le jeune mâle désœuvré aux hormones en délire en cette période estivale), on a droit à quelques morceaux de chair de Cameron Diaz. Histoire de justifier le côté scandaleux de cette production, les dialogues regorgent de «fuck». on y voit un joint de temps en temps et on a droit à quelques autres joyeusetés dans le même genre.

Il faut quand même être honnête, Bad Teacher est meilleur que Your Highness. De peu. Si le long métrage a tendance à s’améliorer au fur et à mesure, le tout demeure quand même totalement inutile, même quand on a rien d’autre à faire. Et quelques heures après le visionnement, on s’aperçoit même qu’on a totalement oublié de longs pans du film.

 

Publié dans Bad teacher (film)

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Bad Teacher: Interviews

Publié le par Yohan

 
   

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Bad Teacher: USA Today Photoshoot

Publié le par Yohan

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