C'est fini.
Voici ce que dit Justin quand on lui demande si il va faire un nouvel album: Oh.. acompagné d''un petit signe et pas de commentaires.
Et quand on lui parle de sa carrière globale:
Je me lance dans beaucoup de choses de sorte qu'on ne puisse pas savoir combien je suis modéré. Je ne voulais pas que les gens savent que j'étais un mauvais chanteur, alors je suis devenu acteur
> Via Guillaume
Critique du film par Presseduweb:
Harvard, automne 2003, Mark, alias Mark Zuckerberg, rompt avec sa petite amie et se venge en faisant irruption sur les ordinateurs de l’une des universités les plus prestigieuses dans le monde pour donner naissance à un site web base de données de toutes les filles sur le campus, où il demande aux utilisateurs de choisir la plus fougueuse. Mark, joué par Jesse Eisenberg, est appelé «Facemash» dans le site. Ce sont les débuts de ce qui deviendra le réseau social de l’excellence, le bien nommé Facebook.
«The Social Network», déjà connu sous le nom du film sur Facebook, réalisé par David Fincher et écrit par Aaron Sorkin, a été présenté hier en avant-première à New York. Déçus sont ceux qui s’attendaient à incursion dans la vie privée du fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, aujourd’hui considéré comme le plus jeune milliardaire du monde. Une richesse qu’il a récemment partagé par un don de cent millions de dollars pour certaines écoles dans le New Jersey.
Le film est un aperçu sur la création de Facebook ainsi que sur les nombreuses polémiques et batailles juridiques, de ceux qui ont revendiqué sa paternité. Depuis les deux rejetons de la maison Winklevoss (Armie Hammer et Josh Pence), à celui qui était le meilleur ami de Mark Zuckerberg, Eduardo Saverin (Andrew Garfield), en passant par son partenariat obscure avec Sean Parker (Justin Timberlake), le fondateur de Napster.
«The Social Network» film sur la création de Facebook se déroule en mode extrêmement réel, mais aussi avec humour, il décrit l’isolement initial, et aussi le mal à se faire accepter à tout prix, d’entrer dans la fraternité exclusive pour impressionner les filles. Le film décrit clairement la façon dont Facebook est né d’un besoin de l’acceptation.
Mais alors comment un outil de socialisation innocent devient hors de contrôle et devient un jouet qui vaut aujourd’hui plus de 25 milliards de dollars. David Fincher, nominé pour un Oscar en 2008 du meilleur réalisateur pour le film «L’étrange histoire de Benjamin Button», frappe sa cible grâce à un casting composé de jeunes acteurs, qui n’ont pas encore trente ans, et qui ont réellement la tête made in Harvard.
C’est aussi un film dans lequel tous les téléspectateurs peuvent reconnaître et admettre que Facebook fait désormais partie de leur vie. «Facebook Me» est l’une des phrases récurrentes dans le film, cependant, cette expression ne semble pas avoir de prise sur le casting. En effet, Fincher, Eisenberg, Garfield, Sorkin et Timberlake ont tous déclaré à la conférence de presse ne pas avoir de page Facebook ou qu’ils l’ont supprimé après son ouverture. «The Social Network», distribué par Columbia Pictures, sera dans les salles la semaine prochaine.
Critique du film par Cineman:
Fagoté comme l'as de pique, complexé, antipathique, ne touchant pas une bille avec les filles de son âge et arrogant
car conscient de son indéniable intelligence, Mark Zuckenberg (l'excellent Jesse Eisenberg) a tout du «nerd» génial. Parce qu'il vient de se faire plaquer par sa petite
amie et qu'il n'a pas accès aux soirées très select de Boston, Zuckenberg met alors en place - grâce aux données obtenues en hackant d'autres sites et à l'algorythme créé par son ami
Eduardo - une page web permettant de voter pour les étudiantes les plus jolies de son université, Harvard. Le succès est immédiat et exponentiel: contacté par deux frangins de la haute
société de Boston désireux de l'engager pour lancer un site similaire mais plus développé, Mark Zuckenberg accepte dans le but de leur voler leurs idées et enrichir ainsi sa propre
invention. La popularité de Facebook, et par conséquent la sienne, ne cessant de grandir, Zuckenberg fait alors la connaissance de Sean Parker (épatant Justin Timberlake),
fondateur de Napster dont il admire la classe et le bagou, lequel lui promet d'obtenir des financements de gros investisseurs... En mettant en images la genèse de Facebook, son succès fulgurant, les amitiés trahies d'une poignée de gamins visionnaires et la bataille juridique qui s'en suivit, David Fincher signe une nouvelle fois, après ses chefs-d'oeuvres Fight Club, Zodiac ou encore The Game, une superbe tragédie sur la condition humaine. Il donne également l'occasion à des millions d'utilisateurs de savoir qui est l'inventeur de Facebook, Mark Zuckenberg: un gros salaud sans scrupules. |